Le cuir, apparemment sans histoires, comme ça, avec les épaulettes parfaites, presque des poches un peu militaires ici, dans toutes les couleurs de cuir qui existent.
La majorité des participants portaient des uniformes militaires qui différaient peu de ceux de son époque. Leurs uniformes ne projetaient aucune image, mais leurs insignes et leurs épaulettes étaient scintillants.
Mais tous les gardes d’honneur avaient à eux ou d’emprunt quelqu’un de ces beaux habits bleu de ciel avec deux épaulettes de colonel en argent, qui avaient brillé sept ans auparavant.
Le jeune homme réfléchit un instant, puis une expression de résignation sublime passa dans ses yeux ; seulement il ôta, d’un mouvement lent et triste, son épaulette et sa contre-épaulette, insignes de son grade.
La robe de mademoiselle Baptistine était coupée sur les patrons de 1806, taille courte, fourreau étroit, manches à épaulettes, avec pattes et boutons. Elle cachait ses cheveux gris sous une perruque frisée dite à l’enfant.
Regardez-moi ce style de malade : culotte rouge, rappel de couleur avec les épaulettes et les chaussures la petite moustache de hipster et même pas besoin de porter sa couronne sur la tête tellement il était cool.
Installés sur des chaises en plastiques à droite de la salle… Tous sont en tenue militaires… le béret vert vissé sous l’épaulette gauche… l’air plutôt détendu… Encadrés par des soldats en armes…