L'insuffisance de ressources associée à un climat hostile et la progression de la désertification ont malheureusement des répercussions sur les secteurs sociaux.
Or, d'après son rapport, les causes sont autant les problèmes structurels que les situations d'urgence. Elles peuvent résider aussi dans la malchance ou les intempéries.
Environ 80 % des dégâts causés par les catastrophes sont dus aux conditions météorologiques, et on redoute que les phénomènes météorologiques extrêmes s'aggravent encore à l'avenir.
Les causes du «Kere» proviennent des conditions climatiques non favorables, à savoir la sécheresse, l'absence d'accès à l'irrigation surtout dans les zones du sud de Madagascar.
Les conditions de sécurité instables et les difficultés liées à la géographie et au climat exigent que la force des Nations Unies soit extrêmement mobile.
La communauté internationale doit s'employer davantage à aider les pays en développement à supporter ce fardeau, surtout dans le climat économique actuel, qui est difficile.
Malheureusement, ces experts nous ont fait savoir qu'il sera difficile de commencer les enquêtes avant le printemps prochain à cause des conditions climatiques difficiles pendant les mois d'hiver.
La multiplication des phénomènes météorologiques violents, que l'on constatait aussi bien en Argentine qu'ailleurs, montrait clairement que le réchauffement de la planète commençait à faire des victimes.
De plus en plus souvent, des conditions météorologiques extrêmes donnent lieu à des sécheresses, des champs dévastés, des puits contaminés, des plages érodées et des glissements de terrain sans précédent.
Selon les contributions, les forêts dans toutes les régions ont souffert à divers degrés des dommages causés par de graves tempêtes, des catastrophes naturelles et des événements climatiques défavorables.
Le requérant affirme que les pompes ont subi d'importants dégâts durant la période de l'invasion et de l'occupation du Koweït par l'Iraq, du fait de conditions météorologiques défavorables et d'une utilisation intensive.
Par ailleurs toutes ces études ne tiennent pas compte des autres éléments qui peuvent expliquer le nombre d’accidents : mauvaises conditions climatiques, âge des voitures, état des routes, etc.
Mais à Oran, les excès du climat, l'importance des affaires qu'on y traite, l'insignifiance du décor, la rapidité du crépuscule et la qualité des plaisirs, tout demande la bonne santé.