Pour s'assurer que les Tokélaou, la Nouvelle-Zélande et le Comité ne demandaient qu'à « ferrer le poisson », la prochaine période devrait être celle de la consolidation, a-t-il indiqué.
M. Tuia a invité le Comité à être le témoin de la « prise du gros poisson » alors que la population tokélaouane était sur le point d'exercer son droit à l'autodétermination.