Certaines des personnes soupçonnées de haute trahison ont été torturées, physiquement et psychologiquement, par des fonctionnaires de police et présentent des mutilations et des cicatrices définitives.
En outre, l'État partie devrait assurer à ces enfants l'accès aux soins de santé, aux services de réadaptation en cas de sévices physiques ou sexuels ou d'abus de drogue, à des services pour la réconciliation avec leurs familles, à une éducation complète, et notamment à une formation professionnelle et à une préparation à la vie active, ainsi que l'accès à l'assistance juridique.