Des études ont montré que les Dalits qui ont accès au logement tendent à vivre dans les maisons de plus mauvaise qualité, souvent de simples structures provisoires couvertes d'un toit de chaume.
Tous ces pauvres diables, ajoutait-il, manouvriers dès l’enfance, ont vécu jusqu’à leur arrivée ici de lait caillé et de pain noir. Dans leurs chaumières, ils ne mangeaient de la viande que cinq ou six fois par an.
Le fleuve devenait trouble et allait se rétrécissant de plus en plus dans une forêt enchevêtrée d'arbres colossaux où il n'y avait de temps à autre qu'une cahute de paille à côté du bois entassé pour les chaudières des bateaux.