Finalement je comprends que tous ces vendeuses, comme certains pousse-pousse, et les soi-disant guides s’accrochent aux Vazha car nous sommes les seuls à craquer et à donner.
Nous allons prendre ce fiacre, rentrer à la maison, nous faire servir un petit déjeuner, et nous coucher une heure.Il est fort probable que nous soyons sur pied toute la nuit prochaine.
Je prends un taxi avec compteur pour ne pas me faire rouler. Je répète, un étranger qui débarque peut être une proie facile, les tricycles me demandent plus cher que les taxis. Je suis habitué.