Ou alors on pense bien sûr aussi au drame très médiatisé du Rana Plaza en 2013 qui avait coûté la vie à plus de 1000 personnes travaillant dans des ateliers insalubres.
Seulement la moitié des marques étrangères qui faisaient fabriquer leurs vêtements au Rana Plaza ont commencé à contribuer au fonds commun d'indemnisation des victimes.
Au Bangla Desh, des milliers de personnes ont exprimé leur colère sur les ruines du Rana Plaza, un an après le dramatique effondrement des ateliers textiles.
C'est une des choses positives qui ressort du drame de Rana Plaza : il y a un nouvel engagement et une nouvelle conscience de faire les choses autrement.
« Les accidents sont évitables, les usines ne doivent pas être des mouroirs » ! Les pancartes portées par la centaine d'ouvriers sont claires. Le drame du Rana Plaza doit servir à réformer le secteur en profondeur.