Au début du XIXème siècle il est investi par des ateliers, appentis et constructions précaire qui détériorent le patrimoine monumental, cette situation se prolonge jusqu'au milieu du XXème siècle.
Derrière les restes d'une croix en pierre arménienne aujourd'hui cassée en deux, des cochons sont poussés dans un appentis pendant qu'au-dessus, sur le balcon, une vieille femme dépouille la tête d'un mouton égorgé.
Tous ces bois furent empilés sous un vaste appentis en planches, qui fut construit auprès des Cheminées, et, là, ils attendirent le moment d’être mis en œuvre.