Près de 90 % de la population féminine du nord du Soudan subit des mutilations génitales, qui dans de nombreux cas sont pratiquées sous leur forme la plus extrême, l'infibulation.
Le cas des 700 jeunes Kenyanes refusant l'infibulation, et donc défiant leur propre famille et leur milieu pour se protéger contre ce qu'elles perçoivent comme une violence, en est une spectaculaire et non moins importante illustration.