Une juge d'instruction renvoyée devant l'instance disciplinaire du Conseil supérieur de la magistrature pour manquement à son obligation de délicatesse.
La juge vient d'être renvoyée devant le conseil de discipline de la magistrature, pour manquement à l'obligation de délicatesse, une décision rarissime.
Les pays qui n'ont pas d'indépendance de la magistrature ont du mal à envisager que les décisions de justice puissent être totalement indépendantes du pouvoir politique.
Au Pérou, démission des présidents de la Cour suprême et du Conseil national de magistrature alors que de nombreux magistrats sont mis en cause dans un scandale trafic d’influence.
La prochaine étape, est la mise à la retraite ou la démission de l'armée du nouveau maréchal, puisque la Constitution interdit à un militaire de postuler pour la magistrature suprême.
Mais si la magistrature s'appelle la torture, si l'église s'appelle l'inquisition, alors l'humanité les regarde en face et dit au juge : Je ne veux pas de ta loi !
Ce pouvoir remonte à leur grand-père, Côme et à leur père, Pierre le Goutteux qui, habilement, avaient confié des magistratures à des fidèles afin de renforcer l'influence de la famille sur les institutions florentines.
C'est un problème constant pour la France et pour les pays qui ont une magistrature indépendante, dans tous les cas de figure, n'importe quel pays africain, c'est un problème que l'on rencontre en permanence.