Les gros pneus patinèrent dans la gadoue avant de pouvoir s’accrocher à quelques pierres, le train arrière godilla pour finir par s’aligner sur la piste.
Le coup de sifflet se fit entendre ; mais au moment où les roues motrices de la locomotive, patinant sur les rails, commençaient à imprimer au train quelque vitesse, ces cris : « Arrêtez ! arrêtez ! » retentirent.