Mais elle précisa que les rapatriés ne pourraient, en aucun cas, ressortir de la ville et que, s'ils étaient libres de venir, ils ne le seraient pas de repartir.
Ce fait s’explique par le « baby-boom » (l’explosion des naissances), qui a suivi la seconde guerre mondiale, et par l’arrivée en France des rapatriés d’Algérie et de nombreux immigrés.
Peut-être, après tout, le document avait-il plusieurs mois ou plusieurs années de date déjà, et il était possible, dans ce cas, ou que le naufragé eût été rapatrié, ou qu’il fût mort de misère.