Les conjoints avaient les mêmes droits successoraux, le droit d'administration légale des enfants mineurs, et des biens, ainsi que le droit de se remarier.
Il est particulièrement préoccupé par le fait que, selon le droit successoral, la part d'héritage réservée aux femmes ne représente que la moitié de celle des hommes.
Le Comité s'inquiète de l'ampleur de la discrimination dont sont victimes les filles, notamment pour ce qui est de l'accès à l'éducation et des droits successoraux.
Par exemple, l'enfant naturel reconnu n'a de droits successoraux opposables au conjoint survivant qu'autant que la reconnaissance lui avait été notifiée par son auteur et par écrit.
À cela s'ajoute que les femmes et les filles font l'objet d'une discrimination légale, inscrite par exemple dans le droit de la famille et dans le droit successoral.
Les activités menées ont consisté à sensibiliser tous les détenteurs de titres fonciers, y compris les femmes, qui souvent ne connaissent pas au leurs droits fonciers ou successoraux.
Bien que les femmes mariées n'aient pas encore le droit d'hériter de leurs époux, le Gouvernement étudie actuellement un projet de loi sur les droits successoraux des femmes.
C'est l'une des formules-clé du droit successoral qui simplement signifie que l'héritier entre en possession des biens de celui qui est mort et dont il hérite.
La succession c'est tout le processus de transmission, et tout ce que comporte un héritage : parfois on accepte une succession parfois on peut la refuser, on parle de disposition, de lois successorales.