Le PASR a été validé par les centres de liaison, les experts nationaux, les autorités nationales, les administrations locales et les communautés touchées.
Mais aucune d'elles n'avait établi ni validé d'indicateurs de la qualité des services existants pouvant servir de référence avant l'opération de délocalisation.
Et, pour faire passer les 150 millions manquants Manuel Valls avait alors validé le remplacement de la dotation générale par le versement d'une part de la TVA.