En outre, le nombre exact d'enfants recrutés ou participant aux hostilités n'est pas facilement vérifiable car il est difficile d'avoir accès aux enfants engagés activement dans le conflit.
On rapporte également que le Gouvernement fédéral de transition aurait mobilisé les chefs de clan du Bas-Chébéli afin qu'ils enrôlent des jeunes, notamment des enfants, dans leurs forces armées.
Les déplacements, la perte des parents ou l'abandon, la négligence et la déréliction ont fait de beaucoup d'enfants, ceux qui vivent et travaillent dans la rue surtout, les victimes de choix des recruteurs.