À ces mots, l’homme couché se releva, et son visage apparut en pleine lumière : tête magnifique, front haut, regard fier, barbe blanche, chevelure abondante et rejetée en arrière.
– J'avais vingt ans, j'en changeais souvent à l'époque, ça m'a passé. Toi, tu n'as pas changé, quelques rides peut-être, mais tu as toujours ce regard perdu dans le vide.
L’homme qui me regarde porte un uniforme. Il n’est pas très grand et n’a pas beaucoup de cheveux. Il est assis derrière un bureau. Il écrit un texte sur son ordinateur.
Zéphine et Dahlia étaient coiffées en rouleaux. Listolier et Fameuil, engagés dans une discussion sur leurs professeurs, expliquaient à Fantine la différence qu’il y avait entre M. Delvincourt et M. Blondeau.
Harry s'était fait couper les cheveux plus souvent que tous ses camarades de classe réunis, mais on ne voyait pas la différence, ils continuaient à pousser à leur guise—c'est-à-dire dans tous les sens.
L’heureux caractère ! se disait-il. Comme son pantalon va bien ; avec quelle élégance sont coupés ses cheveux ! Hélas ! si j’eusse été ainsi, peut-être qu’après m’avoir aimé trois jours, elle ne m’eût pas pris en aversion.