4.Sans des droits et des libertés juridiques et socioculturelles appropriées, les communautés de migrants pourront difficilement se sentir « chez elles ».
5.Il ne suffit pas de les inviter à une réunion, elles ont également besoin de se sentir à l'aise et d'être entourées de personnes qui les considèrent comme des êtres humains intelligents et possédant une expérience utile indispensable pour façonner la pensée et le dessein de nos communautés.
11.C’est largement grâce à nos deux langues officielles que dans notre société, des gens de culture, d’origine et de religion différentes peuvent se sentir chez eux. Que dans notre société, nous sommes tous libres d’exprimer et de célébrer notre culture.