Surveiller les organismes qui recherchent très activement des avantages fiscaux, notamment au moyen d'œuvres de bienfaisance « étroitement contrôlées ».
Elle cherchera en particulier à définir comment limiter l'exploitation des organisations caritatives sans pour autant porter atteinte à leurs opérations humanitaires.
C'est dans ce contexte que la générosité de certains États Membres, du secteur privé et de fondations philanthropiques prend une importance toute particulière.
Seuls 24 États Membres (18 %) font actuellement obligation aux fondations caritatives et aux autres organisations à but non lucratif de signaler les transactions suspectes.