S'il en était autrement, cela aurait des répercussions sur les décisions qui seraient prises à l'avenir en cas de nouveau différend relatif à la marge.
Au demeurant, puisque la marge se situait à l'intérieur de la fourchette établie, il n'était pas impératif, selon eux, qu'elle fasse l'objet d'un ajustement immédiat.
La Commission devait prendre des dispositions pour que la marge soit ramenée à un niveau approprié et que la méthode établie à cet effet soit respectée.
Les évaluations correspondant à chaque type de drogue ont été multipliées par la proportion de la population du pays dans la population totale de la région.
Le rapport des encaisses totales (265,1 millions de dollars) au passif total, à 2,82:1 s'est sensiblement amélioré par rapport au chiffre de 1,4:1 de l'exercice biennal précédent.
Le représentant de la FICSA a souligné que beaucoup de fonctionnaires ne savaient toujours pas ce qu'était la marge et comment la méthode était censée être appliquée.
La Commission a rappelé que, aux fins du calcul de la marge, c'était la région de Washington, base de l'Administration fédérale des États-Unis, qui servait de référence.
En outre, elle trouvait qu'il serait plus logique de lier l'ajustement de la marge à la compétitivité des organisations appliquant le régime commun qu'au programme de départs anticipés.
On pourrait notamment, pour ce faire, étudier la possibilité d'accorder des augmentations par paliers, chaque année, ou corriger les déséquilibres entre les valeurs de la marge aux différentes classes.
La Commission était au courant du recours introduit par la FICSA à propos de la marge et de la décision qu'avait prise le Tribunal administratif de l'Organisation internationale du Travail.
La nécessité de rectifier les anomalies, soit globalement soit pour telle ou telle classe, avant l'introduction de primes de résultats et de structures à fourchettes élargies, était une autre considération importante.
Étant donné cette évolution, les membres du Réseau souhaitaient que la Commission recommande à l'Assemblée générale d'envisager un ajustement réel des traitements qui rapprocherait la marge du point médian, à savoir 15 %.
D'autres membres estimaient que le niveau actuel de la marge était tel que la Commission devait recommander à l'Assemblée générale des modalités pratiques pour atteindre le point médian souhaitable à plus long terme.
Compte tenu des considérations qui précèdent, il a été généralement convenu que l'Assemblée générale devrait être tenue informée de la valeur de la marge et de sa position par rapport au point médian.