Tu vois, dit-elle en s'asseyant, c'est marrant, on se trouve toutes les bonnes raisons de s'interdire d'aimer, par peur de souffrir, d'être abandonné un jour.
Non. Car ce serait abandonner ceux que le système a déjà abandonné, ce serait trahir nos enfants, leurs enfants après eux, qui alors auraient à payer le prix de nos renoncements.
Mais les « plus de 60 ans » se sentent souvent abansonnés par une société qui les rejette et laisse aux spécialistes de l’aide sociale et médicale le soin d’ s’occuper d’eux.