Je déjeune et redescend à pied, une averse se déclenche, il pleut à seau, le temps de m’abriter dans une chapelle en bois où des jeunes sont aussi à l’abri.
Quelques rocs superposés nous offrirent un abri contre les torrents du ciel, Hans prépara des aliments auxquels je ne pus toucher, et chacun de nous, épuisé par les veilles de trois nuits, tomba dans un douloureux sommeil.