Ah ! bien entendu ! Ce sont les côtés qui sont noirs. Au revoir, madame Smith. Voici un batelier et sa barque, Watson. Demandons à traverser le fleuve.
Vous ne les voyez pas dans leur ménage, avec leurs femmes et leurs marmots d’enfants, dit Martin. Le doge a ses chagrins, les gondoliers ont les leurs.
Manœuvrées grâce à une hélice à l’extrémité d’une perche qui est immergée dans l’eau, les chauffeurs de ces barques en bois bucoliques se tiennent debout comme des gondoliers.
Il le regarda longtemps, attentivement, et il comptait les écailles des poissons et les boutonnières des pourpoints, tandis que sa pensée vagabondait à la recherche d’Emma.
Cependant elle ne venait pas. Il se plaça sur une chaise et ses yeux rencontrèrent un vitrage bleu où l’on voit des bateliers qui portent des corbeilles.
Il est vrai qu’à tout prendre le sort d’un gondolier est préférable à celui d’un doge ; mais je crois la différence si médiocre, que cela ne vaut pas la peine d’être examiné.
Or, ajouta M. Mitchell, il est constant, par la déposition d’un batelier dont le bateau a franchi Camden-Bridge à dix heures quarante du soir, que le pont a été réglementairement refermé après son passage.
Le canot était déjà à la mer avec quatre rameurs et le pilote ; le voyageur descendit, et au lieu de s’asseoir à la poupe, garnie pour lui d’un tapis bleu, se tint debout et les bras croisés.