Gervaise fut très contente de revoir son ancien logement ; elle dit où les meubles étaient placés, et elle montra l’endroit où elle avait accouché par terre.
Elle tourna son roux, en piétinant devant le fourneau, aveuglée par de grosses larmes. Si elle accouchait, n’est-ce pas ? ce n’était point une raison pour laisser Coupeau sans manger.
Ce fut le dernier jour d’avril que la jeune femme accoucha. Les douleurs la prirent l’après-midi, vers quatre heures, comme elle repassait une paire de rideaux chez madame Fauconnier.