Interrogée sur le sort des djihadistes français, elle avait évoqué un possible rapatriement, en raison du contexte instable en Irak et en Syrie, et du fait que le Kurdistan n’est pas un Etat.
Cela est évident, répondit l’ingénieur. Ainsi donc, mes amis, puisque nous avons cette chance de rapatriement, attendons avec patience, et si elle nous est enlevée, nous verrons alors ce que nous devrons faire.