La répression doit être le dernier recours, quand la sensibilisation et la prévention ne fonctionnent plus pour éduquer les mentalités et modifier les comportements.
L’insurrection et la répression ne luttent point à armes égales. L’insurrection, promptement épuisable, n’a qu’un nombre de coups à tirer et qu’un nombre de combattants à dépenser.
La répression : elle devrait être plus dure envers les trafiquants, ce qui suppose des effectifs et des moyens d'action plus importants pour la brigade des « stups » .
Car si un jeune homme a bien été condamné pour les raisons évoquées, c'était en 2011. Rien à voir avec Emmanuel Macron, donc, ou la répression des gilets jaunes, comme certains ont voulu le faire croire.