En consultation avec le programme « Un nouveau départ pour l'Afghanistan », l'UNICEF a aussi aidé à démobiliser et réinsérer plus de 2 000 enfants soldats.
D'une manière générale, le pays a un profil démographique fortement jeune ce qui explique que la population économiquement active représente seulement 35 % de la population totale.
Pour prendre soin des enfants en bas âge et permettre aux mères qui travaillent de vaquer à leurs occupations, des initiatives se développent et se multiplient.
Il est préoccupé également par la situation particulière des adolescentes, étant donné, par exemple, le pourcentage élevé des grossesses précoces, susceptibles d'avoir des répercussions négatives sur leur santé et leur éducation.
Contrairement à la politique suivie dans les écoles secondaires du deuxième cycle, les mères adolescentes ne sont pas admises dans toutes les écoles secondaires du premier cycle.
À peine nubiles, elles sont susceptibles de tomber enceintes et il existe un lien étroit entre l'âge de la mère et la mortalité et la morbidité maternelles.
Il recommande également à l'État partie de prendre des mesures pour que les mineures, une fois mariées, continuent de jouir des droits qui leur sont reconnus par la Convention.
Comme observé précédemment, les Maoris sont davantage susceptibles de quitter l'école sans avoir atteint un niveau scolaire suffisant, et ils sont surreprésentés parmi les jeunes qui quittent prématurément l'école.
Ces progrès ont été étayés par les améliorations notables obtenues dans le domaine de la nutrition des nourrissons et des jeunes enfants et le maintien de taux de vaccination élevés.
Le Comité invite également l'État partie à prendre des mesures efficaces, dont des mesures juridiques et des campagnes de vulgarisation, pour mettre fin à la pratique des mariages précoces illicites.
Tout en se félicitant de ce que l'âge légal du mariage soit de 18 ans pour les hommes et les femmes, le Comité s'inquiète de la persistance des mariages précoces illicites.