Loin de nous l’idée de critiquer une décision de justice, mais quand même, il y a de quoi se poser des questions après la condamnation d’Emmanuel Giboulot.
Car si un jeune homme a bien été condamné pour les raisons évoquées, c'était en 2011. Rien à voir avec Emmanuel Macron, donc, ou la répression des gilets jaunes, comme certains ont voulu le faire croire.
Si de Wardes a raconté toute notre affaire au cardinal, ce qui n’est pas douteux, et s’il m’a reconnu, ce qui est probable, je dois me regarder à peu près comme un homme condamné, disait d’Artagnan en secouant la tête.