Les yeux de Ye Wenjie s'illuminèrent : sur le flanc d'une colline de lœss aride s'étendait une forêt verdoyante, comme une éclaboussure de peinture verte sur une vieille toile jaunie.
Ces bois, du reste, devenaient amusants à voir, d’une pâleur jaunie de marbre, frangés de guipures blanchâtres, de végétations floconneuses qui semblaient les draper d’une passementerie de soie et de perles.
L'une d'elles était devenue petite et osseuse, son vieil uniforme paraissait même presque trop grand sur elle, son dos était voûté, ses cheveux avaient jauni et elle avait l'apparence d'une vieillarde.
Les arbres, aux tons jaunis, se groupaient merveilleusement pour le régal des yeux. Quelques vieux troncs énormes, abattus par l’âge, tranchaient, par leur écorce noirâtre, sur le tapis verdoyant qui recouvrait le sol.
Le capitaine Nemo me montra une boîte de fer-blanc, estampillée aux armes de France, et toute corrodée par les eaux salines. Il l’ouvrit, et je vis une liasse de papiers jaunis, mais encore lisibles.
Je ne vis plus que dans cette pièce, entre les chaises de paille un peu creusées, l'armoire dont la glace est jaunie, la table de toilette et le lit de cuivre.
Le temps était sombre et nuageux ; un vent tiède encore, mais déjà mortel pour les feuilles jaunies, les arrachait aux branches peu à peu dépouillées et les faisait tourbillonner sur la foule immense qui encombrait les boulevards.